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“Nordicana” isn’t a recognized music genre – yet. Maybe that’s because Denmark is quite a stone’s throw from Nashville. But once you hear this gem from The DeSoto Caucus, you will probably be surprised to hear they’re not American. Their acoustic guitar-driven lo-fi indie folk sound has the same earnest authenticity of Fleet Foxes mixed with David Bazan or Lord Huron. (The band’s American influences stem from their previous work with Tucson-based collective Giant Sand.) “Let It Glow” is instantly warm and engaging, with lyrical depth that keeps the listener hanging on every word: “I need to find new thoughts / plausible and strong / although I’m keeping right I’m always in the wrong.” The relaxed, almost conversational delivery of frontman Anders Pedersen on “Let It Glow” (from their new album, 4, out now from Glitterhouse Records) feels as though you’re having a heart-to-heart talk with a close friend. Once the song has ended, you’ll feel wiser and comforted. therevue.ca
The DeSoto Caucus réussit donc l’exploit de faire le grand écart entre deux continents pour nous en offrir le meilleur qu’il a choisi selon ses goûts. OFFRAMP RODEO est un de ces albums que l’on écoute avec plaisir au début puis avec passion. Chacun des titres se livre progressivement à nous sans que l’on sache pourquoi jusqu’à ce qu’enfin un univers métissé se révèle pour notre plus grand bonheur. Un disque qui n’a l’air de rien mais qui est excellent en vérité par sa maîtrise, sa sensibilité peu commune et sa sobriété. A vraiment découvrir. Musicalement, The DeSoto Caucus se situe ainsi dans un style connu mais qu’il traite avec brio et originalité. Chacun de ses titres nous raconte une histoire où l’on est à la fois plongé dans un monde désertique et désemparé tout en contemplant un ciel mâtiné d’aurores boréales. Cet album est un peu comme le lieu d’une impossibilité réalisée: celui où le désert d’Arizona rejoindrait le ciel danois. Avec pour dénominateur commun, peut être, un feu de camp, que ce soit dans la neige ou le sable.Musicalement, The DeSoto Caucus se situe ainsi dans un style connu mais qu’il traite avec brio et originalité. Chacun de ses titres nous raconte une histoire où l’on est à la fois plongé dans un monde désertique et désemparé tout en contemplant un ciel mâtiné d’aurores boréales. Cet album est un peu comme le lieu d’une impossibilité réalisée: celui où le désert d’Arizona rejoindrait le ciel danois. Avec pour dénominateur commun, peut être, un feu de camp, que ce soit dans la neige ou le sable. De facto, les chansons du combo se prêtent volontiers à être écoutées autour d’un feu. Elles sont à la fois tristes et mélancoliques, elles décrivent des échappées sauvages et désespérées façon rodéo. Elles sont pleines de nostalgie, de regrets et d’un peu d’amertume. Chaleureuses aussi. L’ambiance se veut intimiste et chaude comme après une tempête de neige ; quand des compagnons de routes s’arrêtent en chemin pour souffler, le cœur plein de vague à l’âme. Ainsi entre ces deux mondes, cette intimité jaillissant de l’isolement au milieu de nul part et qui constitue le point d’équilibre et de rencontre des deux univers. Pour traduire cette dichotomie, le groupe recourt à une formule rythmique simple en apparence mais extrêmement complexe en réalité. Comme fondement à sa musique, les scandinaves ont choisi de s’en tenir à l’essentiel, à la sobriété, mais de manière subtile. Il s’agit pour eux de dire beaucoup en peu de mots. L’effet est renversant : en réduisant la batterie à son plus simple appareil, mais en la laissant exprimer sa complexité, le groupe obtient un groove puissant tout en légèreté. Le tempo est en effet presque toujours très lent mais la rythmique extrêmement accrocheuse. En s’appuyant sur cette base solide, le quatuor peut se permettre ainsi de donner à ses chansons tant ce côté folk nordique et intimiste que le côté americana plus dynamique. Il n’a plus qu’à ajouter une guitare relevée d’une « disto » très propre ainsi qu’une guitare sèche qui se contentent d’égrainer quelques accords répétitifs. Cette combinaison capture l’auditeur et constitue un mélange épatant. De surcroît s’ajoutent encore en toile de fond, de l’orgue, de la basse, du xylophone et du vibraphone qui participent à ce mixage réussi du chaud et du froid. On est véritablement emporté. Les titres, quoique répétitifs dans leur structure, défilent les uns après les autres sans que l’on s’en rende compte. lordsofrock.net
Selv om rødderne er fæstet i Aarhus, kunne de lige så godt være amerikanske. The Desoto Caucus har tjent deres lærepenge godt som sidekick for Howe Gelb og igen som en del af hans band Giant Sand. Ørkenrockens fader har i den grad inspireret den aarhusianske kvartet i leveringen af eget materiale. De har på album nummer 4 fundet deres helt egen velklingende formel. På 4 træder The Desoto Caucus en gang for alle ud af læremesterens skygge med en samling slidstærke sange, der boltrer sig i gode detaljer og variation." GAFFA
Das zu besprechende Album besitzt einen spröden Charme, der den Hörer nach jedem Hördurchlauf mehr und mehr gefangen zu nehmen vermag. Verantwortlich ist wohl die minimalistische Garagenatmosphäre, die diese auf das Wesentliche reduzierten Stücke ausstrahlen. Vielleicht auch das Vintage-Feeling des ganzen Sammelsuriums von eingesetzten Instrumenten. Ganz sicher aber der ebenso schrundig-mürbe wie einnehmende Gesang, in dem aller Weltschmerz konzentriert zu sein scheint... Der rumpelige Rootsrocker "Nail In The Wall" zählt dabei noch zu den eingängigsten Songs von "The DeSoto Caucus". Die seltsame Mixtur aus Desert Rock, "Spiel mir das Lied vom Tod"-Attitüde und einer dudeligen Annette Humpe-Gedächtnis-Orgel im zweiten Stück, "Skills Of Warface", ist da schon deutlich schrulliger, was sich im Folgenden mit drei apart-skurillen, zwischen Wovenhand und Sixteen Horsepower angesiedelten Alternative Country-Songs fortsetzt. Kurz und knackig rootsrockt sich "Just The Other Day" nach diesen eher kratzbürstigen Songs in Ohr und Herz. Lächelnde Lässigkeit verströmen "Lighthouse" und "Bridges Of Bern", zwei erwärmend-einnehmende, kleine Kunststückchen. Dagegen erheben sich "Crack In The Cover" und "Lonesome Train" unwirklich wie Fata Morganen hinter einem flirrend-heißen Vordergrund - sehr introvertiert und auch ein wenig verstörend. Den stärksten Eindruck hinterlässt aber der rüpelhaft, leicht dissonant 'rotzende' Rootsrocker "Don't Fear", der in seiner erbarmungslosen Härte fast schon ein wenig deplatziert, wie ein Felsen in diesem unergründlichen Meer von harmonisch-schönem Americana, wirkt. Knallt aber astrein zwischen die Lichter... "The DeSoto Caucus" ist mal wieder so ein Album, dem man zwingend den Raum zum Wachsen einräumen muss. Nichts für den 'schnellen Hunger' zwischendurch, aber für eine solche Kost ist Glitterhouse ohnehin nicht bekannt. Ein Album, das die europäischen Americana-Charts stürmen dürfte... rocktimes.info
Last year we were already quite enthusiastic about Offramp Radio, but the third, untitled, album (Glitterhouse) is even better, much better in fact. Desert roots rock of a high level. You can hear the wind blowing through the Jutland desert, the tumbleweeds pile up against the abandoned Aarhus post office. Important in the sound is the hypnotic interplay of bassist Henrik Poulsen and drummer Peter Dombernowsky. On this twanging guitars and suave keyboard playing are given the space to excel. Add to that the calm recitation of singer Anders Pedersen and you have the recipe for this accessible mix by Desoto Caucus. The melancholy Wasteland is the most beautiful song. Also interesting is Don't Fear in which a bit of Beefheartian madness is thrown into the shaker. Intriguing record on which The Desoto Caucus shows that they can also stand on their own two feet. altcountry.nl